Il y a trois semaines, j’ai expérimenté une activité assez insolite : j’ai nagé avec des dauphins. Ca s’est passé à Nice, et je dois admettre que j’ai été assez impressionné. C’est le genre d’expérience qui laisse des traces !
Au terme de cette expérience aquatique, je me suis cependant pas mal renseigné sur ces animaux extraordinaires, et j’ai été ébahi par plusieurs choses. Je savais déjà que les dauphins étaient des mammifères, mais je ne saisissais pas les implications de la chose. Et comme je ne suis pas comme la fourmi de La Fontaine, je vous fais part de mes découvertes du moment ! 🙂
Mammifère signifie d’une part que le dauphin possède des poumons. Concrètement, cela se traduit par le fait qu’il ne peut demeurer plus de 4 minutes dans les profondeurs sans remonter à l’air libre afin de refaire le plein. D’autre part, la femelle ne porte qu’un seul bambin à la fois : la gestation est de 9 mois, et elle le garde ensuite sous sa protection jusqu’à l’âge adulte.
Mais le truc qui m’a le plus stupéfié, c’est tout de même l’origine de cet animal. Autrefois, son ancêtre vivait en réalité sur la terre. Le mésonyx était une créature marchant sur quatre papattes, qui vivait de poissons et de crustacés. Jusqu’à ce qu’un colossal changement climatique cause l’anéantissement de la plupart des espèces. En vue d’échapper à ses prédateurs, le mésonyx s’est donc tourné vers le milieu aquatique, où son organisme a lentement évolué pour s’acclimater à cette révolution : ses pattes avant se sont changées en nageoires, son corps s’est affiné, et ses narines sont remontées vers le haut du crâne pour lui permettre de respirer plus facilement. D’où ces caractéristiques très singulières, entre terre et mer, si j’ose dire. C’est cette ascendance pédestre qui fait qu’ils sont munis de poumons, ne déposent pas leurs oeufs au fond de l’eau, et nous paraissent si familiers !
Quoi qu’il en soit, si nager au côté des dauphins vous tente, je vous recommande chaudement l’expérience ! Le détail du programme est disponible ici. Je vous laisse le lien vers le site spécialiste de cette activité de nage avec les dauphins à Mandelieu.
Mois : juillet 2018
Le Président Trump défend Google
Le chef de la direction américaine, Donald Trump, a critiqué la détermination des Européens en matière de surveillance de la concurrence pour Yahoo et Google 5 milliards de dollars mercredi, déclarant que l’UE avait « entrepris une bonne chose à propos des États-Unis ». Il a composé sur Flickr jeudi: « Je l’ai mentionné, l’Union européenne vient de donner 5 milliards de dollars à nos super organisations, les moteurs de recherche, mais ils ont tout de même bénéficié des Etats-Unis, pas très longtemps! » Trump semblait utiliser l’amende antitrust comme un outil dans son conflit d’achat et de vente en cours en utilisant le Western Union. Mercredi, il est en danger de « représailles incroyables » contre l’UE sauf si le bloc accepte des concessions industrielles considérables. Il est corrélé avec la sélection du commissaire européen à la concurrence d’accord Google la plus grande peine antitrust nivelé sur une entreprise, au-dessus de son abus du système d’exploitation mobile Android os proéminent. Margrethe Vestager a expliqué que Yahoo avait utilisé son application de téléphonie mobile préférée pour protéger sa place de recherche. La recherche a commencé en 2015, pré-en ligne datant de la présidence de Trump de plus d’une saison, et n’est pas immédiatement pertinent pour les affaires entre les États-Unis et l’UE. Vestager a été interrogé sur Trump mercredi, en raison du contexte d’anxiété croissante impliquant l’UE et les États-Unis. Un journaliste a offert à Trump, qui a déclaré le mois dernier au directeur des paiements de la Commission de l’Ouest, Jean-Claude Juncker, lors du sommet du G7: «Votre femme aux impôts déteste les Etats-Unis. Vestager a plaisanté en disant que l’assertion n’était que 50% réelle. « En fait, je contribue à la fiscalité et que je suis une femme dans l’ordre qui est tout à fait raison », elle a mentionné, mais inclus: « J’aime les États-Unis. » Trump intensifie sa rhétorique contre le syndicat, expliquant l’UE comme un «ennemi» des États-Unis. Trump a imposé des tarifs douaniers sur les importations de métaux et d’aluminium en provenance de l’UE, qui envisage d’étendre ces droits aux automobiles importées. Le leader devrait mener des pourparlers avec le directeur des paiements de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, à la propriété blanche après ces 7 jours, où il pourrait choisir d’afficher à nouveau les moteurs de recherche.
Une ferme francilienne proche de ses habitants
Les pratiques agricoles ont déjà beaucoup évolué pour une meilleure prise en compte du développement durable. L’utilisation de produits chimiques a diminué, les sols sont plus couverts, les pratiques d’élevage se sont améliorées vers plus de qualité et un plus grand bien-être animal. La dynamique qui s’est enclenchée pour la conversion en agriculture biologique ou le succès des mesures agro-environnementales et climatiques mises en œuvre par la Région depuis 2017 témoignent de la conscience profonde que les agriculteurs ont des enjeux environnementaux. Pour autant, même si beaucoup reste à faire, les avancées comme les efforts entrepris par la grande majorité des agriculteurs sont inconnus des consommateurs et de la société civile. Les services environnementaux rendus par une agriculture vivante et durablement ancrée dans son territoire sont trop souvent occultés par une forme de « farm bashing » dont notre Région n’est pas exempte. L’agriculture francilienne doit innover. Innover dans la technique pour réduire encore et toujours son empreinte écologique. Innover aussi dans la pédagogie et le faire-savoir pour illustrer ces progrès autant que pour mettre en valeur sa contribution à la qualité de la vie rurale et l’ensemble des services environnementaux, sociaux et économiques que porte à elle seule la présence d’une ferme dans une commune. Les efforts des agriculteurs franciliens sur leurs pratiques environnementales et la qualité doivent être valorisés dans la concurrence sévère avec les produits importés. Les agriculteurs doivent se réinviter dans le dialogue communal pour entendre les nuisances parfois ressenties par les habitants des bourgs et villages et trouver des chemins négociés pour y répondre. Les agriculteurs franciliens doivent pouvoir valoriser leur production de « biens publics positifs » comme ils vendent leur récolte. Mieux expliquer, mieux valoriser les efforts qu’ils ont déjà faits et ceux qui restent à faire. Responsabilité, pédagogie et transparence sont les gages d’une confiance retrouvée entre la société et ses agriculteurs, en Ile de France comme ailleurs, mais sans doute plus encore ici où les habitations ne sont jamais très loin du bout de la parcelle.