Colloque de Lisbonne sur les tensions du Moyen Orient

L’EI est un problème de premier ordre pour le monde entier. Mais cela pourrait vite changer. La semaine dernière, j’ai participé à un colloque à Lisbonne où mes collègues et moi avons parlé de l’EI, et en particulier des des dernières attaques qui sont pratiqués à gauche et à droite. Je dois dire que j’ai été étonné de découvrir que mes collègues étaient convaincus que le pire nous attend. Parce que d’après moi, le pire est déjà passé. C’est que les dernières tentatives d’attentats ont fait l’effet d’un pétard mouilavaient un caractère amateur. La menace ne découle plus de groupes aguerris, pouvant diriger des attentats comme ceux de Paris. Dorénavant, ce sont des personnes fraîchement radicalisées, qui essaient de réaliser une attaque. Ce sont des adolescents résolument inadaptés qui souhaitent mourir et profitent de l’occasion pour justifier leur geste. Alors il est incontestable que c’est problématique. Il est évident qu’avec ces bizuts, le nombre de candidats au suicide explose : il n’est plus indispensable de partir au Moyen-Orient et de s’y entraîner pour perpétrer un attentat : un boutonneux à peine pubère peut se lancer de façon indépendante. Mais leur manque d’expérience fait qu’ils feront sans doute moins de victimes s’ils parviennent à leur objectif. Mais surtout, cela nous apprend que l’Etat Islamique est certainement en pleine régression, au point de devoir être secondé par des débutants. La recrudescence des attentats montre qu’il est en train de perdre la guerre. Cette organisation va continuer à sévir, mais je suis certain que le plus gros est passé. Soit dit en passant, j’ai été conquis par  ce colloque à Lisbonne. Vous pouvez jeter un oeil au site de l’agence qui s’en est occupée. J’ai beaucoup apprécié sa réactivité.Retrouvez toutes les infos sur ce séminaire entreprise à Lisbonne en suivant le lien.

Balade vers le Brexit

Je crois qu’on est lundi, non ? J’ai vraiment le sentiment que la justice n’est pas la même pour tous. C’était ma dernière déclaration au tribunal, et je pense que le message est passé. Si je me fais ré-attraper samedi dans la manif’ et qu’ils me mettent en prison parce que je filme des manifestants, qu’ils le fassent, qu’ils osent le faire. Allons-y. Si on est vraiment en démocratie et qu’on en arrive là, allons-y. Si j’avais peur, j’aurais arrêté depuis longtemps. Avant d’en arriver là, je me suis déjà pris des grenades, je me suis fait arrêter, j’ai déjà eu des contrôles judiciaires. Si je lâche l’affaire, combien de journalistes auront peur, encore plus qu’avant ? Avec ce qui vient de se passer, je ne dois pas lâcher. Depuis le début du mouvement des Gilets jaunes, un grand nombre de manifestants étaient toutes les semaines interdits de se rendre à Paris, les empêchant d’exercer leur liberté fondamentale de manifester. Aujourd’hui, l’institution judiciaire veut en plus interdire à un journaliste de faire son travail. Ce n’est pas une peine, c’est un contrôle judiciaire. Ce qui le justifie, je ne sais pas, parce que cette décision n’est pas motivée. On ne veut plus voter pour des gens qui, une fois qu’ils sont élus, décident de tout pour nous sans nous consulter», regrette la gilet jaune. Lors de la précédente élection présidentielle en 2017, elle a voté pour Mélenchon au premier tour. Aujourd’hui, la retraitée dit apprécier le groupe de La France insoumise, mais plus son leader. Aux élections, elle votera François Asselineau, «pour le Frexit et parce qu’on ne peut pas sortir des traités». Pour elle, ce qui émerge de la mobilisation des gilets jaunes n’est «pas politique». «Notre but n’est pas d’être un parti, mais de peser dans les partis politiques avec nos idées.

Pour plus de longévité en politique

Ce n’est pas de par votre personnalité avec leur gouvernement fédéral que les grandes républiques ont manqué de stabilité; c’est parce que, nés dans les bustes de violentes tempêtes, ils sont toujours dans un état d’exaltation, ils sont reconnus. Un seul travail était le travail de la philosophie, organisé calmement. Cette république, les Etats-Unis, regorgeant d’informations et d’énergie, révèle cette tendance et chaque fois que leur richesse augmente, ce qui étonne les autres nations du monde. En conséquence, il était réservé au dernier monde d’apprendre à cet âge que l’existence est possible et pacifique selon les principes de la liberté et de l’égalité. Bien sûr, j’affirme cette tâche que, lorsqu’un tout nouvel achat de biens peut être fondé sans craindre des influences partisanes, comme l’a fait le premier consul, principalement juste après la sérénité d’Amiens, et comme il peut néanmoins le faire, il deviendra beaucoup plus facile de dactylographier une république sans avoir l’anarchie qu’une monarchie sans la nécessité du despotisme. Car comment pouvons-nous tomber enceinte une limitation qui ne pourrait pas illusoire à l’intérieur d’un gouvernement dont le principal avait tout le pouvoir exécutif dans sa paume et les zones à accorder? Ils ont parlé des entreprises pour produire tous ces bons résultats. Avant de recommander de déterminer une monarchie, nous ne devons pas nous garantir nous-mêmes et montrer aux personnes qui doivent voter sur l’inquiétude, ces sociétés proposées se trouvent dans la transaction de points probables, au lieu d’obstructions métaphysiques, qui ont été présentées à un reproche envers le système inverse? Jusqu’à présent, rien n’était devenu bien conçu pour supprimer une force supérieure, mais exactement ce que l’on appelle un physique ou des droits intermédiaires. S’agit-il d’une nouvelle noblesse que vous articuleriez probablement une fois que vous feriez allusion aux organisations? Mais de telles solutions ne sont-elles pas encore pires comparées à la maladie? Car le pouvoir absolu du monarque ne prend que notre liberté, comme l’établissement de séances privilégiées nous prive à la fois de la liberté et de notre égalité. Et si, même au commencement, les dignités et les rangs n’avaient été que privés, nous nous rendons compte qu’ils finiront généralement par se hériter des fiefs des autres temps.